Comme toujours, la musique ne s’est pas faite du jour au lendemain.
Il s’en est passé du temps, depuis la musique médiévale.
Pour qu’aujourd’hui, elle existe encore en ayant beaucoup évoluée.
Vous savez : Ce n’est pas l’instrument, qui fait le musicien !
Puisque la musique est une matière, qui est basée sur une pratique.
Mais aussi, sur la connaissance musicalement théorique.
Un musicien sait ce qu’il fait, il compose de la culture !
Si les premières écritures d’un néophyte, commencent difficilement.
Et, si c’est au point de remplir des pages de gammes musicales.
Le musicien avance, avec son propre tempo, sa propre culture.
Car, nous savons tous, qu’apprendre c’est travailler pour un but.
Actuellement, en plein effort d’édition publique, je redécouvre…
Seulement,qu’il y avait plusieurs chronologies parmi les gammes fondamentales.
C’est en voulant rester simple, que je me suis retrouvé entouré d’enharmonies…
Et malgré un début plus que facile, avec les primitives élémentaires.
Les notes “primitives” sont celles qui sont naturelles, dénuées d’altération.
Une fois, qu’on commence à poser des altérations, on oblige l’analyse.
Ainsi, les notes primaires vont porter chacune une altération (b/#).
Que déjà, j’entamais les modèles enharmoniques, pour admirer leurs définitions.
La chronologie élémentaire nous a donnée, une présence enharmonique.
Lorsque, on a développé le modèle de Do +7, et sa force altéractive.
En occultant l’altéraction, on crée un modèle enharmonique.
Où deux notes se rencontrent, dans un même emplacement.
Et tant que j’y étais, passer un petit bonjour aux primitives complexes.
Le flux enharmonique s’est annulé avec l’altéractivité des notes signées, et voisines.
En portant sur la tonique, l’altération d"écrit une modulation diatonique.
En faisant suivre une évolution altéractive sur la tonique, on obtient une chronologie.
En créant une fusion, des éléments sur la tonique, on obtient une autre chronologie.