Bienvenue là où on l’attendait, cette musique allait faire de nombreux élus ! Et, bien que son heure soit venue… Elle laissait une partie d’elle-même dans un pauvre milieu, car en raison de sa rapidité de publication. Elle ne concernait (cette musique) uniquement une majorité de musiciens relatifs, dont le calcul de la majorité aurait le sens basique d’un monde de professionnels et associés. Comment peut-on dire ; Que la musique publique est insurmontable, que le musicien puisse être isolé d’un contexte musical luxurieux…
– Comment faire la démonstration d’un modèle musical conditionnel, comment cet esprit d’ouverture s’est t’il épris de la fermeture ? – pourquoi alors, la musique éclairée devant une porte fermée. Plutôt que de tourner cette poignée, se contente t’elle d’ignorer cette ouverture ? (Par manque d’esprit ?)
Le temps musical qui passe est ancien, et il est toujours d’actualité. Ainsi que la conformité d’une musique qui a rejoint un état quantique, et qu’elle puisse avoir plusieurs règles de conduite : Exemples (Taux de musique populaire, un nombre de styles musicaux, un monde musical géographique, un nombre de notes musicales précis, un complexe théorique de la musique…), les données de calcul sont réelles et le résultat de l’opération harmonique ne l’est visiblement pas ! Parce qu’encore une fois, l’intérêt du fonctionnement de la musique à une forte dépendance à l’argent. Que tout est couteux, dont la tarification populaire serait à l’échelle 3, dans un niveau de vie publique musicale à 1.
La solution la plus simple c’est d’ouvrir une fenêtre anglaise, celle qui s’ouvre sur le web.
Maintenant tout est donné, quelque chose à dire, et çà publie. La directivité informatique au service de la culture publique, la clef d’accès d’une visibilité internationale…
Personnellement : Le nouveau venu www.toumic.fr et son index majeur musical perso.
@urémail
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